Une étreinte de feu – 157 / Anonyme

Anonyme (Philippe)

Seigneur, je ne Te vois pas, je ne T’entends pas, Tu ne m’effleures même pas. Pourtant, je Te sens là et bien là, comme une présence visible et palpable, audible, respirable, vivante dans l’ombre même de la mienne. Et je souris à ce Mystère qui ne réclame rien, qui n’exige rien, qui n’impose rien, et je Te rends grâce pour cet amour qui comble tout. 

Philippe, dans: Revue Prier No 379, avril 2015 (prier.presse.fr)

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