Peter Handke et Wim Wenders
Je ne pourrais pas dire qui je suis. Je n’en ai pas la moindre idée. Je suis quelqu’un sans origine, sans histoire, sans pays et j’y tiens. Je suis là, je suis libre, je peux tout m’imaginer. Tous est possible. Je n’ai qu’à lever les yeux et je redeviens le monde.
Peter Handke et Wim Wenders, Les ailes du désir (Flammarion, 1992)
image: Wim Wenders, Les ailes du désir / 1987 (daljin.com)
Guy Gilbert Si tu penses ne pas être à la hauteur, que Dieu ne t’écoutera pas à cause de tes fautes, surtout ne te décourage
Alda Merini Je n’ai pas besoin d’argent. J’ai besoin de sentiments, de mots, de mots choisis avec soin, de fleurs comme des pensées, de roses
Nikolaas Sintobin Apprendre à discerner – XXXV On est maintenant prêt à entrer dans le processus du choix. Cela prendra deux fois une semaine. Pendant
Daniel-Ange Devant l’icône de la Trinité de Roublev, l’incroyant s’interroge, l’intellectuel se tait, le théologien se sent très petit, l’artiste en fait sa joie, le