Ivan Tourgueniev
C’est cela la vraie beauté de la poésie: au lieu de parler de ce qui est, elle chante quelque chose qui est infiniment plus élevé que la réalité et qui, pourtant, lui ressemble davantage.
Ivan Tourgueniev, Premier amour (coll. GF/Flammarion, 1993)
image: Jeannette Woitzik (http://www.art-spire.com)
Léon XIV Rappelez-vous que l’Eglise, au cours de son histoire millénaire, a eu – et a encore aujourd’hui – de merveilleuses figures de sainteté sacerdotale:
Psaume 102 Bénis le Seigneur, ô mon âme, bénis son nom très saint, tout mon être! Bénis le Seigneur, ô mon âme, n’oublie aucun de
Marguerite-Marie Alacoque Ayez une grande confiance en Dieu et ne vous défiez jamais de sa miséricorde qui surpasse infiniment toutes nos misères. Jetez-vous souvent entre
Thérèse de Jésus (Thérèse d’Avila) Bien souvent dans mes commencements, j’avais un grand plaisir à considérer mon âme comme un jardin, et à me représenter