Kabîr
Mon Seigneur se cache et merveilleusement mon Seigneur se révèle. Mon Seigneur m’a durement enfermé et mon Seigneur a fait tomber mes chaînes. Mon Seigneur m’apporte des paroles de tristesse et des paroles de joie; et c’est Lui-même qui en atténue les contrastes. J’offrirai à mon Seigneur mon corps et mon esprit. Je donnerais ma vie plutôt que d’oublier mon Seigneur.
Kabîr, La Flûte de l’Infini, suivi de Poèmes (coll. Poésie/Gallimard, 2012)
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