Jean Anouilh
Tu l’apprendras toi aussi, trop tard: la vie c’est un livre qu’on aime, c’est un enfant qui joue à vos pieds, un outil qu’on tient bien dans sa main, un banc pour se reposer le soir devant sa maison. Tu vas me mépriser encore, mais de découvrir cela, tu verras, c’est la consolation dérisoire de vieillir, la vie, ce n’est peut-être tout de même que le bonheur.
Jean Anouilh, Antigone (La petite Vermillon/Table Ronde, 2008)
Regards ignatiens – 57 Jean-Pierre de Caussade Si le monde entier n’est pas capable de contenir tout ce que l’on pourrait écrire de Jésus, de
Albert Camus Regardez, la neige tombe! Oh, il faut que je sorte! Amsterdam endormie dans la nuit blanche, les canaux de jade sombre sous les
La liturgie des Heures – LXXIX. A Vêpres – XVIII La terre desséchée tressaille de joie: une source jaillit, transparence nouvelle où notre humanité retrouve
Bernard de Clairvaux Dieu, dans son amour, ne veut rien d’autre que d’être aimé. Il n’aime que pour qu’on L’aime. Car Il le sait: ceux