Chemins de traverse – 449 / Jean d’Ormesson

Jean d’Ormesson

Tout change. Tout se transforme. Tout s’écroule. Tout reste toujours semblable. Nous ne cessons jamais de rouler entre le bien et le mal, du chagrin à l’espoir et de l’espoir au chagrin, du désir à l’ennui et de l’ennui au désir.

Jean d’Ormesson, Un jour je m’en irai sans en avoir tout dit (Laffont, 2013)

image: Sandro Botticelli, La naissance de Vénus / détail (rivagedeboheme.fr)

Auteur/autrice

Partager sur:

Dernières publications

Morceaux choisis – 262 / Daniel-Ange

Daniel-Ange Devant l’icône de la Trinité de Roublev, l’incroyant s’interroge, l’intellectuel se tait, le théologien se sent très petit, l’artiste en fait sa joie, le