Chemins de traverse – 625 / Emile Zola

Emile Zola

A la suite de chacune des crises qui m’abattent, c’est comme une jeunesse nouvelle, un printemps dont les promesses de sève me réchauffent et me relèvent le cœur. Cela est tellement vrai, que, après une grosse peine, si je sors dans la rue, au soleil, tout de suite je me remets à aimer, à espérer, à être heureuse. Et l’âge n’a pas de prise sur moi, j’ai la naïveté de vieillir sans m’en apercevoir.

Emile Zola, Les Rougon-Macquart, vol. XVIII : L’Argent (coll. Livre de poche/LGF, 1974)

Auteur/autrice

Partager sur:

Dernières publications

Convergences musicales – 56 / Hector Berlioz

Hector Berlioz La damnation de Faust, Op 24 « D’amour l’ardente flamme » Elina Garanca Filarmonica del Teatro Comunale di Bologna Yves Abel image: https://fr.123rf.com Auteur/autrice Jubilate DEO