Alain Gerber
Je pense qu’on meurt sous les cyprès, mais qu’on ressuscite à la fin. Je pense qu’à l’intérieur des ténèbres de soi on tire des feux d’artifice, on jette des arcs-en-ciel comme des ponts entre les rives d’un fleuve où l’on s’est noyé, qu’on n’en sait rien, mais qu’il en reste pourtant quelque chose quand on revient à la vie: une lueur au point d’un jour vraiment nouveau.
Alain Gerber, Louie (Fayard, 2002)
image: Louis Armstrong (static.canalblog.com)
Nikolaas Sintobin Apprendre à discerner – L Ignace de Loyola suppose que des mouvements affectifs tels que la joie, la tranquillité, la confiance sont normaux.
Psaume 95 Chantez au Seigneur un chant nouveau, chantez au Seigneur, terre entière, chantez au Seigneur et bénissez son nom! De jour en jour, proclamez
Pierre-Julien Eymard Remerciez Dieu, quand Il vous fait voir un défaut en vous; on paie un médecin qui nous dit notre maladie. Pierre-Julien Eymard, dans:
Gustave Roud Où es-tu? Que de fois crié, cet appel vers un être, du fond de l’abîme intemporel où ma maison a glissé doucement comme