Chemins de traverse – 356 / Jules Supervielle

Jules Supervielle

Ecoute, apprendras-tu à m’écouter de loin, il s’agit de pencher le coeur plus que l’oreille, tu trouveras en toi des ponts et des chemins pour venir jusqu’à moi qui regarde et qui veille.

Jules Supervielle, Le forçat innocent, suivi de: Les amis inconnus (coll. Poésie/Gallimard, 2007)

image: http://lemag.corsair.fr

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