Liturgie des Heures – 51 / A Tierce – V

La liturgie des Heures – LI. A Tierce – V

Tu es mon berger, ô Seigneur!
Rien ne saurait manquer où tu me conduis.
Dans tes verts pâturages,
tu m’as fait reposer,
Et dans tes eaux limpides,
tu m’as désaltéré.

Tu es mon berger, ô Seigneur!
Rien ne saurait manquer où tu me conduis.
Dans la vallée de l’ombre
je ne crains pas la mort ,
Ta force et ta présence
seront mon réconfort.

Tu es mon berger, ô Seigneur!
Rien ne saurait manquer où tu me conduis.
Tu m’as dressé la table
d’un merveilleux festin;
Ta coupe débordante
m’enivre de ton vin.

Tu es mon berger, ô Seigneur!
Rien ne saurait manquer où tu me conduis.
Ton huile vivifiante
rayonne sur mon front;
Je trouve l’abondance
au sein de ta maison.

Tu es mon berger, ô Seigneur!
Rien ne saurait manquer où tu me conduis.
Vers ta justice sainte,
tu traces un sentier,
pour faire mieux connaître
ta gloire et ta bonté.

Tu es mon berger, ô Seigneur!
Rien ne saurait manquer où tu me conduis.
Ta grâce et ta lumière
sans fin me poursuivront
Et jusqu’en ta demeure,
un jour , m’introduiront.

Tu es mon berger, ô Seigneur!
Rien ne saurait manquer où tu me conduis.

image: Gentile da Fabriano, Spedale di Santa Maria del Buon Gesu (collezioni-f.it)

source: https://www.oblatos.com

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