Paul Drochon
Il existe des regards humains dont la qualité vous empêche de croire que tout s’achève à la mort, et des sourires qio reflètent un monde invisible. En d’autres termes, il est des âmes qui courent à la surface de leur corps comme des frémissements de l’eau sur la surface d’un étang. Pressentir l’éternité à travers la beauté des créatures est le gage et déjà l’aurore du Royaume à venir.
Paul Drochon, dans: Eric de Rus, Une existence épiphanique – Cristina Kaufmann (Ad Solem, 2013)
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